Les deux jours d’échanges ont permis aux acteurs du secteur de relever des dysfonctionnements, faiblesses ou goulots d’étranglement. Ils ont déploré entre autres la réalisation des ouvrages d’eau potable par certaines ONG sans respect des normes en vigueur, le manque de ressources et le faible suivi des interventions des Organisations par les services déconcentrés, le faible renseignement de la Base de Données des Informations (BDI) de la DGEau, le non fonctionnement des organes GIRE notamment le retard qu’accuse l’adoption du décret portant sur l’Agence de l’eau du bassin de l’Ouémé.
Cette 16ème réunion a réuni les responsables des ministères de l'eau et de la santé, les acteurs locaux, les acteurs non étatiques, le secteur privé, les partenaires techniques et financiers pour l'examen annuel des interventions.