Une trentaine de participants des institutions et organisations suivantes ont pris part à cette réunion: experts de la FAO; ONU-Environnement, le Commissaire en charge de l’agriculture, de l’environnement et des ressources en eau de la CEDEAO ; Des experts des Directions en charge de l’Environnement et des Ressources Naturelles et du Centre de Gestion des Ressources en Eau de la CEDEAO ; UICN; GWP-AO; ABN; OMVS, OMVG, UEMOA, Points focaux des 8 pays membres du Massif du Fouta que sont : Gambie, Guinée Bissau, Guinée, Mali, Niger, Mauritanie, Sénégal et Sierra Leone.
Entre autres recommandations formulées, les participants ont demandé à :
La CEDEAO une accélération de la formalisation de l’ancrage institutionnel et juridique du programme au niveau de la CEDEAO, en tenant compte des orientations des pays membres ; la mise en place et rendre opérationnel une unité de coordination du programme ; et mobiliser les ressources nécessaires; de rendre l’Observatoire régional des ressources naturelles du Massif du Fouta Djallon opérationnel en mettant en réseau les observatoires nationaux et ceux des organisations de bassin existantes, en tenant compte des acquis aux niveaux national et sous-régional.
La CEDEAO, la FAO, le PNUE et les Etats membres, de poursuivre le projet jusqu’en décembre 2023 et de fournir aux équipes de projet les ressources nécessaires à temps pour la mise en œuvre des plans de travail.
Aux Pays membres, d’assurer la prise en compte effective de la contribution des Etats en nature et en espèces selon le schéma de financement convenu par les parties du projet et favoriser l’efficacité et la pérennité du projet en maintenant les points focaux (mémoire institutionnelle) jusqu’à la fin du projet.