Les visiteurs ont échangé sur les dispositions prises par les bénéficiaires pour la durabilité de l’action.
La fertilité du sol notée par une évolution de la terre végétale est passée de 5 cm en 2016 à 20 à 30 cm à nos jours. Ils ont constaté la formation des termitières marquant la reprise de la fertilité biologique du sol. Les bénéficiaires ont planté de nouveaux plants et sont totalement engagé à disposer des cordons pierreux dans les zones érosives résistantes.
Le président du groupement Kolgweogo, M. COMPAORE Bila dit Moussa a déclaré que lui et son équipe vont répliquer l’action en 2019 car le projet leur a permis d’acquérir un savoir qu’il faut utiliser. Il a indiqué à la délégation du GWP-AO et du PNE Burkina que l’accompagnement technique permet à leur travail de prospérer et permet de faire des corrections pour atteindre les résultats à long terme. « Quand tu possèdes un savoir-faire et que tu n’es pas assujetti à l’adapter pour l’améliorer, cela ne sert pas », a ajouté M. COMPAORE.