La formation de trois jours a permis aux participants d'être équipés sur différentes pratiques agroécologiques et sur la manière de les mettre en œuvre dans leurs champs pour un meilleur rendement dans un contexte de changement climatique et d'insécurité alimentaire. Ils ont acquis un savoir-faire sur les méthodes naturelles qui leur permettront désormais de fertiliser leurs sols. Ils ont appris la fabrication de bio-protecteurs et de bio-intrants organiques tels que le compost précoce, et diverses techniques (bokashi, super magro solide et liquide, bouillon de cendres, bouillon de chaux vive, celui de chaux sulfurée, Apichi, la solution bio-protectrice Nono, la semence de micro-organismes indigènes et la technique d'obtention du biochar).
A l'issue de la formation, une émission spéciale à la radio a permis aux participants d'exprimer leur satisfaction et leur engagement à poursuivre le travail entamé. Une communauté de pratique sur WhatsApp a été mise en place pour permettre aux participants de rester en contact et de partager leurs expériences sur la mise en œuvre des nouvelles connaissances acquises.