L’assemblée générale des partenaires du GWP-CAf s’est tenue à Douala, Cameroun le 6 novembre 2015 au tour du thème « les défis du financement du secteur de l’eau en Afrique centrale-Opportunités et Contraintes : Quelle stratégie adopter ?».
Cette réunion statutaire du GWP-CAf a connu la participation des Présidents des PNE du Cameroun, Centrafrique, Congo et du Sao Tomé et Prinicpe, du Président par intérim du Comité Technique et Scientifique, du responsable du réseau du GWPO pour l’Afrique centrale, des représentants des organismes des bassins tels que la CICOS et la CBLT, ainsi que des représentants des organisations de la société civile.
Du 20 au 21 octobre 2015, s’est tenu à Douala, Cameroun, l’atelier de mobilisation des experts d’Afrique centrale pour la refonte des normes hydrologiques. Cette activité s’inscrit dans le cadre du Projet« Révision des normes Hydrologiques pour des infrastructures Hydrauliques Résilientes au Changement Climatique- Afrique centrale» (Projet RESIHYST-Afrique centrale) initié par l’UNESCO et mis en œuvre dans la sous-région avec l’appui institutionnel de la Communauté Economique des Etats d’Afrique Centrale.
Les travaux de l’atelier qui se sont déroulés sur deux jours ont connu la participation des experts en gestion des bases de données de la CEEAC, des responsables des ministères de l’eau, des transports, des travaux publics et des points focaux du Programme Hydrologique International (PHI) venant de Burundi, Cameroun, Centrafrique, Congo, République Démocratique du Congo, Sao Tomé e Principe et Tchad ainsi que des représentants des universités et de centre de recherche hydrologique.
Du 29 au 30 septembre 2015 s’est tenue à Douala, Cameroun, la première réunion du Groupe de Travail « Taskforce » sur l’élaboration de la stratégie régionale des Services Météorologiques et Hydrologiques Nationaux (SMHN) en Afrique centrale. La rencontre a été organisée par la Communauté Economique des Etats d’Afrique Centrale (CEEAC) en collaboration avec le GWP-CAf.
En plus des experts de la CEEAC et du GWP-CAf, la réunion a connu la participation des hydrologues, météorologues, experts en communication, environnementalistes et responsables nationaux des services d’hydrographies et de météorologie venus du Cameroun, Congo, Gabon, RD Congo, Sao Tomé é Principe et Tchad, ainsi que des représentant de l’UNESCO et de la Commission du Bassin du Lac Tchad (CBLT).
La réunion du Taskforce qui fait suite à une visite de travail du GWP-CAf auprès de la CEEAC au mois de juillet 2015 avait pour objectif l’appropriation du processus d’élaboration de la stratégie par les experts et la validation de la synthèse régionale des états des lieux des services nationaux et régionaux des services hydrométéorologiques en vue d’élaborer la feuille de route pour la suite du processus.
Du 7 au 10 septembre 2015, s’est tenu à N’djamena, au Tchad, un atelier de renforcement des capacités des dirigeants et experts de la commission du bassin de lac Tchad (CBLT) ainsi que des experts et des partenaires clés sur le concept et approche de gestion intégrée des ressources en eau (GIRE) pour les eaux transfrontalières.
Organisé par la CBLT avec l’appui technique du GWP-CAf, l’atelier qui a regroupé une vingtaine de participants avait pour but d’une part de leur donner les outils nécessaires à l’appropriation du concept GIRE dans la gestion et le développement des ressources en eau avec un accent particulier sur les ressources en eau transfrontalière et d’autre de permettre à l’équipe dirigeante de la CBLT d’avoir une compréhension commune de l’importance d’une coordination des activités des différentes directions ainsi que celles des partenaires clés.
L’atelier de validation du rapport du Projet « La Jeunesse Francophone pour l’Eau » , initié et soutenu par l’Office Franco-Québécois pour la Jeunesse (OFQJ) et le Partenariat Mondial de l’Eau (GWP) intitulé « quelle place pour la jeunesse dans la gouvernance de l’eau et des questions de sécurité alimentaire dans le contexte du changement climatique » s’est tenu le 12 août 2015, en marge de la Journée internationale de la jeunesse, à Yaoundé.
Organisé grâce à l’appui multiforme du GWP-CAf, cet atelier qui, s’inscrit dans le cadre des préparatifs de la 21ème Conférence des Parties sur le climat (COP21) a regroupé les jeunes leaders des réseaux et associations de la jeunesse travaillant dans les secteurs de l’eau, changement climatique, sécurité alimentaires et environnement.
Les objectifs de cet atelier étaient de présenter aux parties prenantes les résultats de la consultation nationale et de valider les recommandations qui seront présentées lors de la 21ème Conférence des Parties sur le climat (COP21) prévue ce décembre à Paris en France, comme la contribution de la jeunesse camerounaise.
Dans le cadre de la mise en œuvre du Programme Eau, Climat et Développement (WACDEP) en Afrique centrale, le Partenariat National de l’Eau du Cameroun (GWP-Cmr) a organisé en collaboration avec le Partenariat Régional de l’Eau d’Afrique centrale (GWP-CAf), du 26 au 28 août 2015 à Douala, au Cameroun, un atelier de renforcement des capacités des institutions et organisations nationales sur « la préparation des projets relatifs à la sécurité en eau et la résilience climatique en Afrique centrale ».
Prenaient part à ces assises, les représentants des institutions étatiques ainsi que ceux des organisations nationales impliquées dans le secteur de l’eau au Cameroun, Gabon, Centrafrique, Tchad et Sao Tomé et Prinicpe.
Organisé par le Partenariat National de l’Eau de Sao Tomé et Principe (PNE-STP) avec l’appui technique du GWP-CAf, l’atelier régional de renforcement des capacités des professionnels des médias d’Afrique centrale qui ayant pour thème « l’apport des réseaux sociaux pour l’atteinte de la sécurité en eau en Afrique centrale » s’est tenu à Sao Tomé les 17 et 18 juin 2015. Il a regroupé les Journalistes du secteur public et privé venus du Cameroun, Centrafrique, Congo, Gabon, Tchad et Sao Tomé et Principé.
L’objectif de cette session de formation visait principalement à initier les professionnels des médias d’Afrique centrale à une bonne utilisation des réseaux sociaux dans l’exercice de leur profession d’une part et d’autre part à leur montrer l’importance que jouent les réseaux sociaux dans la communication pour la promotion de la GIRE, le développement résilient aux changements climatiques et surtout pour l’atteinte de la sécurité en eau dans la région.