Dans le cadre de la célébration de la journée internationale de la jeunesse 2016 au tour du thème « La route vers 2030 : Éliminer la pauvreté et parvenir à des modes de consommation et de production durables », des leaders des organisations de la jeunesse camerounaise investis dans la préservation de l’environnement ont lancé ce 13 août 2016 le processus de création d’un réseau dénommé « Réseau des Jeunes pour la Préservation des zones Humides (REJEPH) ». C’était lors d’un atelier de validation du document de cadre logique organisé à Yaoundé par Water For Life Cameroon avec l’appui du GWP-CAf.
20 leaders représentants 10 organisations (Water For Life Cameroon (W4L), Women In Development (WID), Jeunes Volontaires de l’Environnement (JVE), Centre de Recherche sur la Forêt et l’Environnement, Institut des Relations Internationales du Cameroun (IRIC), AJEVOH Cameroun, Cameroon Youth Initiative for Rural Development (CAMYIRD), Young Professional Plateform for Agricultural Development (YPARD), United Voice to Serve Forest and Environment (USFE), de la jeunesse camerounaise ont pris part à cet atelier qui s’est déroulé au siège du GWP-CAf à Yaoundé, Cameroun.
Au cours de ces assises, le Global Water Partnership Central Africa (GWP-CAf) a entretenu les participants sur son expérience en matière de réseautage : un réseau de terrain multi-acteurs avec une vision et une mission ; son fonctionnement et surtout l’utilité d’un réseau. Ce partage d’expériences avait pour objectif d’aiguiller ces jeunes leaders sur le chemin de la création de leur réseau.
En vue de la validation par les participants du cadre logique du réseau, trois groupes de travail ont été constitué pour plancher sur les axes d’intervention prioritaire du réseau, le mécanisme de financement et fonctionnement du réseau, et enfin sur la mise en place d’un comité ad hoc chargé de produire les textes fondamentaux du réseau, étape nécessaire pour la mise en place définitive du réseau des jeunes pour la préservation des zones humides (REJEPH).
Dans le cadre d’élaboration du document projet pour la mise en place d’un système d’alerte précoce dans la région du bassin du Lac Tchad, le GWP-CAf et la CBLT ont co-organisé un atelier de validation du rapport de démarrage dudit projet axé sur la stratégie de la réalisation du travail (conduite des d’études hydrologiques et de productions du document projets par les consultants recrutés). L’atelier s’est déroulé du 11-12 juillet 2016 à Ndjamena, Tchad.
Ont participé à cette rencontre 8 experts (en hydrologie, climatologie, hydrogéologie), 4 personnel du Secrétariat Exécutif de la CBLT, 3 experts du projet d’adaptation aux changements climatiques et des eaux souterraines de la coopération allemande, le coordonnateur du Programme de Réhabilitation et de Renforcement de la Résilience des Systèmes Socio-Ecologiques du Bassin du Lac Tchad (PRESIBALT), deux délégués du GWP-CAf et l’équipe de trois consultants recrutés dont 2 experts en développement du projet du Cabinet PEGASYS de l’Afrique du Sud et 1 expert hydrologue du Tchad.
L’objectif principal de cet atelier était non seulement de présenter, amender, enrichir et valider le rapport de démarrage mais aussi servir de cadre aux consultants recrutés pour ce processus de se rencontrer, de partager leurs expériences et renforcer leur collaboration.
Préparer le GWP-CAf a bien terminé la première période (2014-2016) de sa stratégie régionale et aussi bien entamé la seconde moitié de la stratégie 2014-2019 et le repositionner à l’horizon 2030. Oui. Mais Comment ? C’est pour répondre à cette question que la présidente du GWP-CAf a convoqué un Comité de Pilotage extraordinaire du GWP-CAf. Ce comité avait pour thème : « ODD : Opportunités pour changer et redéfinir le rôle et mode de fonctionnement du GWP en Afrique centrale ». Il s’est tenu le 30 juin 2016 à Douala, Cameroun.
En plus des membres statutaires du comité de pilotage à savoir les quatre présidents des PNE du Cameroun, Centrafrique, Congo et Sao Tomé é Principé ; le président du CST ; le représentant de la CEEAC, le délégué des organismes de bassins : la CICOS, des représentants des acteurs du secteur de l’eau (SODECA) et des organisations de la société civile (REFADD), cette session extraordinaire du Comité de Pilotage a connu la participation du secrétaire exécutif du GWP-O et de la secrétaire exécutive du GWP-Afrique du sud.
L’objectif assigné à cette réunion extraordinaire était de réfléchir et proposer une feuille de route pour le processus de recherche d’une nouvelle institution hôte pour le GWP-CAf et aussi d’examiner les différentes options de fonctionnement et gouvernance du réseau GWP aux fins de les appliquer dans la région Afrique centrale.
A la lumière des présentations faites sur la programmation stratégique du GWP à l’horizon 2030 avec ses implications et l’expérience du fonctionnement et de la gouvernance du GWP Afrique du sud, les membres du comité de pilotage ont pris l’ampleur de la double reforme à opérer au sein du réseau GWP pour son positionnement à l’horizon 2030. Un changement d’abord interne basant sur les 4 domaines (renforcer le réseau au niveau national (PNE), assurer la durabilité du financement, améliorer la gestion des connaissances et augmenter la performance institutionnelle,) et un changement externe avec une nouvelle architecture.
Dans le cadre du renforcement de partenariat, noué depuis 2007, entre le GWP-CAf et l'Université de Dschang, orienté vers l'appui technique et la dispensation de cours liés à la GIRE à l'Université de Dschang, le personnel du GWP- CAf a dispensé un cours sur l'eau et le développement socio-économique, à la Filière de Métiers des Dois, de l'eau et de l’environnement, de la Faculté d’Agronomie et des Sciences Agricoles (FASA).
C’est depuis 2014 et à l'invitation de la Filière de métiers des bois, de l'eau et de l’environnement que, le GWP- CAf a accepté de préparer et dispenser des cours sur l'eau et développement socio-économique (LPEE 233) aux étudiants de 1ère et 2ème année de du Campus satellite d’Ebolowa, de l'Université de Dschang, situé dans la région sud du Cameroun.
La Filière des Métiers du Bois, de l’eau et de l’environnement, est l’une des écoles spécialisées de la Faculté d'Agronomie et de Sciences Agricoles de l'Université de Dschang.
Pour cette année académique 2015/2016, le GWP CAf et la direction de l'école ont convenu d'organiser la dispensation de ce cours pendant 3 jours (8h/jour, pour un total de 24 heures) aux étudiants de la 1ère année, à la fin du mois de mai 2016,
Les cours ont effectivement ont lieu du 27 au 29 mai 2016 et le 30 mai a été réservé pour les évaluations écrites.
Le cours a été organisé autour de trois modules : Introduction à la GIRE, Mise en œuvre de la GIRE, ainsi que la surveillance des ressources en eau et l’environnement.
Ces modules ont été à leur tour structurés de manière à rendre plus facile leur dispensation.
Avis de recrutement d’un consultant pour « la rédaction du rapport de clôture du projet de mise en valeur des rebus forestiers et reforestation des espaces dégradés en Afrique Centrale ».
Le GWP CAf a obtenu un don de la Banque Africaine de Développement (BAD), agissant en qualité d’Administrateur du Fonds pour les Forêts du Bassin du Congo (FFBC), d'un montant de 1.500.000 euro, pour financer le Projet de mise en valeur des rebus forestiers et de restauration des espaces dégradés en Afrique Centrale. Au terme de l’exécution du projet, le contrat d’accord de don prévoit que le GWP-CAf rédige un rapport de clôture du projet.
Date limite de dépôt de dossiers de candidatures est fixée au plus tard le 28 avril 2016.
Le profil du consultant
Télécharger le TDR , Directive et Format.
Le Global Water Partnership Central Africa (GWP-CAf) et la Commission du Bassin du Lac Tchad (CBLT) recrutent une équipe de deux experts (un expert en développement de projet et un expert en hydrologie/météorologie) pour « élaboration d’une proposition de projet pour la mise en place d’un Système d’Alerte Précoce au sein de la Commission du Basin du Lac Tchad ».
La date limite de dépôt de candidature est fixée le 30 avril 2016 à 17h00. Pour plus d'infos télécharger le TDR en français ici ou TDR en anglais ici. Bonne chance!
Une équipe du GWP-CAf a effectué une visite de travail de quatre jours du 22 au 25 mars 2015 au secrétariat exécutif de la Commission du Bassin du Lac Tchad (CBLT), à Ndjamena, Tchad.
L’objectif de cette mission était de finaliser les Termes de Référence (TDR) et la note conceptuelle du projet portant sur la mise en place du système d’alerte précoce dans la région du bassin du Lac Tchad. Cette visite de travail a été sanctionnée par l’adoption, par les deux parties, des TDR et de la note du projet intitulé « renforcement des systèmes d’informations sur le climat et d’alerte précoce pour le développement résilient et l’adaptation aux changements climatiques dans la région du bassin du Lac Tchad ».
En prélude à la journée mondiale de l’eau 2016, le Ministère camerounais de l’eau et de l’énergie, la Société Civile, secteur privé et Institutions internationales, partenaires du GWP-CAf ont organisé à Yaoundé, du 17 au 22 mars 2016, la semaine nationale de l’eau, au tour du thème « eau et emploi ».
Cette semaine a été marquée par plusieurs évènements parmi lesquels, un atelier des média ; deux visites guidées dont l’une à la station d’épuration des eaux usées et l’autre à la station de traitement des eaux de consommation ; une foire exposition ; des campagnes de vulgarisation des textes règlementaires du secteur de l’eau et de l’assainissement ; une marche sportive, un match de football et un forum des métiers de l’eau. Le tout a été couronné par un concours des meilleurs poèmes et caricatures sur la problématique de l’eau, destinés aux élèves de cinq établissements scolaires de Yaoundé.
Le forum des métiers de l’eau, organisé le 21 mars, a connu la participation des universitaires, étudiants, des professionnels de l’eau et les personnes intéressées par le secteur de l’eau. L’activité a favorisé des discussions approfondies entre les experts et le public sur les métiers que peut générer l’eau. Des exposés-débats sur la gestion des points d’eau, les formations pour les métiers de l’eau, opportunités d’emploi dans le secteur de l’eau et traitement de l’eau.
En résume, l’eau génère beaucoup d’emplois allant d’un simple agent réparateur des points d’eau en passant les vendeurs d’eau potable, les exploitants d’eau, hydrologue, ingénieur du génie rural, etc.
Dans le cadre de la mise en œuvre de son programme « eau et jeunesse », le GWP-CAf a appuyé Water For Life Cameroon, une organisation de la jeunesse, dans la mise en œuvre d’une série de quatre ateliers de formations des Coachs d’Hygiène pour les écoles primaires.
Cette activité s’inscrivait dans le projet de promotion de l’hygiène dans les écoles primaires de l’Arrondissement Yaoundé 2 dénommé « un savon pour des vies saines » qui a été élaboré par Water For Life Cameroon.
Le coup d’envoi de la formation a été donné par la présidente du GWP-CAf, le samedi 6 février 2016, à Yaoundé, Cameroun. La première session regroupait treize (13) participants, venant de 10 organisations de la jeunesse camerounaise.
Les formations qui couvraient la période du 6 au 27 février 2016 étaient articulées autour de quatre principaux modules à savoir : Les maladies hydriques et insalubres : Transmission, Manifestation et Prévention; les techniques d’animation dans les classes des écoles primaires ; le WASH dans les écoles et droits à l’eau et à l’assainissement enfin l’environnement scolaire et la psychologie de l’enfant. Elles étaient animées tour à tour par sept formateurs dont deux femmes. Parmi ces formateurs on trouvait un médecin, un juriste, un enseignant, un psychologue, expert en marketing social et un expert de l’Unesco.
L’atelier de réflexion autour du thème « modes de vie durables dans les zones humides des pays en développement : la vision de la jeunesse africaine » initié par Water For Life Cameroon, à l’occasion de la célébration de la Journée Mondiale des Zones Humides, en partenariat avec le GWP-CAf s’est tenu le mercredi 3 février au siège du GWP-CAf à Yaoundé, Cameroun.
Cette rencontre a regroupé 21 représentants issus de 13 associations de la jeunesse camerounaise spécialisées dans la protection de l’environnement et des centres de recherches.
L’objectif de l’atelier était de sensibiliser l’opinion jeune sur l’importance de l’interdépendance entre les modes de vie humaine et les zones humides tant en milieu urbain que rural en vue d’un changement de comportement pour la gestion rationnelle et durable des biens/bénéfices et services procurés par les zones humides.